Bonjour à tou(te)s,

Vous l'avez sans doute constaté, le blog est depuis quelques semaines en stand-by...
Le quotidien étant un peu différent ces temps-ci, j'ai d'autres occupations plus importantes (à mes yeux) que la cuisine, et si je continue à enchanter mes papilles avec des petites recettes sympa, je ne me renouvelle plus trop ces temps-ci.
Je mange du déjà vu, je n'ai plus trop la tête à l'improvisation et aux essais, alors je préfère prévenir. Cela me permettra de me consacrer pleinement à tout ce que j'ai à faire, sans trop culpabiliser ou me mettre la pression pour poster de nouvelles recettes.

J'espère que vous allez tou(te)s bien, et j'espère vous revenir très vite avec plein de nouvelles idées gustatives !

Déjà au programme pour mon retour, une recette de seitan, avec une cuisson particulière qui lui donne une texture sublime... Promis, je vous la mettrai !

À bientôt, prenez bien soin de vous et de vos assiettes ;)

Hello tout le monde !
J'ai un namoureux un peu spécial... Il a oublié mon anniversaire, mais pour se rattraper, tadaaam !! Il m'offre une friteuse Actifry !
Quel superbe cadeau, LA friteuse qui fait 1kg de frites avec seulement une cuillère d'huile !!! Depuis le temps que je la voulais, cette friteuse, il n'aurait pas pu mieux tomber !


Aussitôt découverte, aussitôt testée, nous voilà en train d'éplucher des pommes de terre et les tailler en frites.
Important quand vous faites des frites (avec l'actifry, au four ou avec une friteuse classique) : lavez bien les pommes de terre une fois coupées, pour ôter tout l'amidon, et séchez les bien dans un torchon ensuite :


Nous n'avions pas une variété de pommes de terre très adaptée pour des frites, mais quand bien même, j'avais trop envie de tester cette petite merveille !

Il suffit de disposer vos frites crues dans la cuve, et d'ajouter votre cuillère d'huile sur les frites. Puis, programmez le minuteur et c'est tout !


La cuisson est assez longue, comparé à des frites normales. Il faut compter environ 30 à 40mn selon la grosseur des frites. Le principe de cuisson est simple : une pale au milieu de la cuve tourne les frites très lentement, pour que l'huile s'éparpille bien uniformément sur toutes les frites. Pendant ce temps, le "four" se met à chauffer, et souffle en même temps pour reproduire une chaleur tournante.
Le résultat est plutôt sympa : des frites très belles et très peu grasses, et au goût, tout à fait fidèles à des "vraies". J'avais utilisé de l'huile de maïs, mais je changerai à chaque fois !
Niveau texture, l'extérieur était parfaitement doré, mais les frites étaient un peu molles. Je pense que c'est en partie dû au fait que la variété de pommes de terre utilisée n'était pas franchement adéquate, et aussi parce que je pense les avoir cuites trop longtemps.

En attendant de nouveaux essais et de nouvelles recettes (et oui, cette friteuse ne fait pas que des frites ! On peut cuisiner des légumes, des dessert, faire "frire" les samoussas, les nems... j'ai hâte d'essayer !) je vous laisse admirer le travail...


Bon appétit !! Et... merci mon chéri ! :)

Bonjour tout le monde !

Le temps se rafraîchit... même s'il reste ensoleillé par ici, et c'est appréciable ! Malgré tout, les premières soupes ont fait leur retour chez moi, et je vous propose aujourd'hui un potage doublement réchauffant ! Les épices parfument avec délice ce mélange de légumes et pois chiches.

Salut à tou(te)s !

C'est en lisant l'article de Laura que j'ai eu envie de vous le raconter. Et j'en profite pour vous proposer une petite participation, amis blogueurs : pourquoi ne pas écrire, vous aussi, votre histoire, votre cheminement jusqu'au mode de vie vegan, et y mettre le lien en commentaire de cet article ? Ce serait une façon simple et sympa de découvrir les réflexions de chacun... Je vous laisse libre de participer ou non !

Pour ma part, tout a commencé très tôt. Depuis toute petite, j'ai été élevée au milieu des animaux. À 2 ans, j'étais déjà à dos de poney, à 4 ans j'étais inscrite dans un club hippique. "Mon" premier chien est né quelques mois avant moi. À 10 ans, j'ai eu mon premier animal "à moi", un petit hamster gagné sur une kermesse de l'école. Je l'avais appelé Moustache. En vacances, vers l'âge de 8 ans, nous étions en camping juste à côté d'un pré où vivaient des vaches. J'allais les voir tous les jours, et une de ces vaches était particulièrement sympathique. Quand nous sommes partis de ce camping, j'ai demandé à ma mère si on pouvait demander au boucher de quel n° de vache provient le steak que l'on achète. Elle m'a regardé avec de grands yeux bizarres, et m'a dit "non, je ne pense pas, pourquoi ? Je peux toujours demander..."


Quand j'étais plus jeune, j'adorais (déjà !) écrire. Vers l'âge de 10 ou 11 ans, j'avais des dizaines de correspondant(e)s à travers le monde, avec qui je partageais mes histoires au centre équestre et autres. Un jour, une de mes correspondantes m'a appelée sur l'heure de midi : c'était son anniversaire. Elle était ravie de m'appeler pour me raconter que ses parents avaient sauvé un petit agneau de l'abattoir pour le lui offrir en cadeau. Cette famille vivait à la campagne dans un vieux corps de ferme, et avaient largement assez de terrain pour s'occuper de différents animaux, de compagnie comme de ferme.
Caroline (ma correspondante) me racontait alors le moment où elle l'a découvert, elle me dit qu'elle l'avait appelé Coton, qu'il était adorable et qu'il réclamait son biberon d'une manière très attendrissante, qu'il grimpait sur le canapé pour demander des câlins... J'étais aux anges d'imaginer de telles scènes ! Un mouton dans la maison, quelle adorable compagnie !
Puis, le temps passait et ma mère m'appelle pour me demander de venir à table. Je raccroche rapidement, et vais rejoindre ma place, quand j'ai vu les maniques passer au dessus de mon épaule, avec un grand plat... de mouton.


Ce jour là, j'ai catégoriquement refusé de manger cette viande, qui pour moi était potentiellement celle de la maman de Coton, ou celle de son cousin, de tout autre membre de sa famille ou d'un de ses amis de pré. Mes parents n'ont rien dit, je pense qu'ils ont compris quand je leur ai expliqué que Caro venait de me parler de Coton.

Le lendemain, la scène s'est reproduite, avec du bœuf cette fois. En voyant le bourguignon sur la table, j'ai immédiatement repensé à ma vache du camping, ma copine qui m'accueillait toujours en me léchant les mains. Je me suis rappelée ce jour où j'avais demandé au boucher de quelle vache venait le morceau de viande que ma mère achetait. Je me suis surtout rappelée sa réponse : "ma pauvre fille, on en voit tellement des carcasses ! J'en sais rien, moi !"
Je n'ai pas touché au bourguignon. Ainsi a commencé ma nouvelle vie végétarienne.


Huit années pendant lesquelles je n'ai pas mangé un morceau de viande, si tant est qu'on considère que le poisson n'en est pas. J'ai continué à me régaler de bons plats de colin, de lieu jaune, de saumon fumé et de calamar pendant 2 ans. Puis, petit à petit, grâce à ma curiosité et ma volonté de militer, j'ai appris que les poissons aussi souffrent. J'ai arrêté de les manger progressivement.

J'ai renoncé aux œufs industriels vers 14 ans. J'avais appris par une personne qui travaillait dans LA grosse entreprise aviaire du coin que les œufs leur arrivent sur un tapis roulant, et qu'ils doivent trier les œufs cassés ou fêlés pour ne pas qu'ils terminent dans les alvéoles du commerce. Ces oeufs sont sélectionnés par des hommes et des femmes, qui les cassent dans des pots à lait à côté d'eux. Ces pots à lait mettent plusieurs jours à se remplir, et sont ensuite envoyés dans les usines qui fabriquent les gâteaux industriels. Seulement... après 3 ou 4 jours, les œufs ont eu le temps de pourrir au fond des pots à lait... Bon appétit bien sûr !

En plus de ça, j'avais des voisins qui élevaient des poules pondeuses. J'étais entrée une fois dans leur élevage, car ils voulaient me convaincre que leurs poules étaient heureuses ! J'ai vu l'immense couloir éclairé au néon, et les cages superposées où 5 ou 6 poules se battaient pour un centimètre carré d'espace, et une puanteur abominable (à tel point que je me demande encore aujourd'hui comment elles font pour vivre dans cet air irrespirable). Tout cela, plutôt que me convaincre comme le souhaitaient mes voisins, m'a définitivement confortée dans mon idée qu'il fallait continuer à aller chercher mes œufs chez mon charmant voisin, qui avait 4 poules en liberté dans sa ferme, à manger des vers de terre et du grain bio.


Concernant le lait, j'ai arrêté d'en boire vers 17 ans, pour me mettre progressivement au lait de soja. J'ai vite ressenti les bénéfices de ce changement : plus de maux de ventre après mon petit déjeuner, et surtout, le bonheur : mon allergie aux chats a disparu ! Je pouvais enfin dormir avec la minette, qu'on avait récupérée dehors après l'avoir trouvée cachée dans le tas de bois derrière la maison. En revanche, il était trop difficile pour moi de me passer de fromage et de crème fraîche.

C'est la veggie pride de 2006 qui m'a décidée. Les personnes que j'y ai rencontré ont répondu à toutes mes questions concernant le régime végétalien. Parce que je me renseignais déjà depuis plusieurs mois. Mais je n'osais pas franchir le cap.
Et j'ai tenté, après qu'une fille m'ait expliqué qu'elle avait arrêté de manger du fromage sans le vouloir : pendant un mois, elle n'en avait pas sous la main, et donc pas mangé, et quand elle y avait à nouveau goûté ensuite, elle avait trouvé ça infecte. Je me suis dit que c'était exactement ce qu'il me fallait pour arrêter. Je me suis donc lancé le défi : pendant un mois, pas de fromage ! La tentation était tout de même forte, mais j'ai tenu 29 jours. Puis, devant mon assiette de pâtes un peu triste, j'ai craqué, et j'ai pris le paquet de gruyère râpé qui me faisait de l'œil dans le frigo. Le problème, c'est que je n'ai pas fini mes pâtes : je trouvais effectivement le fromage infâme. Ce goût de putréfaction, de rance, de fermentation, quelle horreur !

C'est comme ça que je suis devenue vegan. L'alimentation a été le passage le plus dur pour moi : je suis une pure gourmande !!! Mais tout est question d'habitudes.
Cela n'a pas été dur pour moi de ne plus acheter de cuir, de laine ou de miel. J'ai évité les produits testés dès que j'ai pris conscience des horreurs des labos, soit vers 12 ou 13 ans. Quant aux spectacles (cirques, corridas...), inutile de préciser que je n'y ai jamais mis les pieds !

Voilà ma petite histoire. Mes amis de l'Oasis comprendront peut-être mieux mon émotion face à la jolie Daisy ;)

Hello !

Un petit billet pour vous faire envie (et pour me faire patienter) avant de recevoir ma crêpière Krampouz Diabolo. Non, je n'ai pas les moyens de me l'offrir, j'ai juste une grand-mère adorablement généreuse, et professionnelle de la crêpe de surcroît.

Ma grand-mère et la cuisine, c'est une histoire d'amour. On dit qu'on tient quelque chose de sa marraine, je pense que c'est vrai à en juger du débit de paroles qu'on assure toutes les deux. Mais à mon avis, il y a des choses qui se transmettent en sautant les générations, aussi. Si j'en crois la passion de ma grand-mère pour ses fourneaux, et la mienne (et celle de mon père aussi, finalement, qui est loin de se torturer pour ses repas), on peut dire que ça se vérifie.

Trêve de blabla, je vous présente... Tadaaaam !


La crêpière Diabolo, dernier cri de chez Krampouz. Vous l'aurez compris, c'est ma grand-mère qui me l'offre (fan de cuisine et pro de la crêpe + adorablement généreuse = des cadeaux de ce genre régulièrement, merci Grand-Mère !).
J'ai super hâte de la recevoir, et de faire mes premières crêpes !!

Vous vous demandez peut-être ce qu'est ce truc triangulaire sur la plaque, et bien accrochez-vous (si vous ne le connaissez pas déjà), c'est un étaleur de pâte, ingénieusement breveté par la maison. Ce petit machin est un récipient dans lequel on verse le contenu de la louche de pâte, puis on tourne et hop, la pâte s'étale toute seule, uniformément, coupe la crêpe de façon nette et précise, pour obtenir facilement des crêpes parfaites sans galérer avec le rozell !

Mais j'ai aussi hâte de recevoir cette merveille pour faire mes galettes ! En bretonne 100% pur beurre, je ne peux pas passer à côté de ce régal salé qui s'agrémente de mille et une façons... À quand la saucisse végétale qui imite la grosse chipo des incontournables galettes-saucisses ? Avant qu'elle ne soit inventée, je pense avoir largement le temps de m'entraîner à tourner les galettes sur ma belle Krampouz. Et à moi le régal frais et fait maison ! On en trouve de très bonnes sur le marché, fraîches du matin ou même de l'heure précédente, mais quel plaisir de les faire soi-même...
Bon, je radote un peu, là.

Je vous promets de réaliser un test dès réception de la fameuse Krampouz, que je n'aurai que dans un mois !! L'attente va être interminable...

Niveau recettes, je fais souvent mes crêpes avec seulement lait de soja, farine et sucre (et pincée de sel). Contrairement aux idées reçues, pas besoin d'œuf pour faire de bonnes crêpes. Mais cette recette est vraiment basique et donne un résultat un peu "cassant", pas très moelleux, un peu sec. Donc l'idéal est d'ajouter soit de la fécule de pomme de terre, soit de la poudre custard (pour un petit goût vanillé très agréable, en prime). La consistance de la pâte doit être liquide mais épaisse, jamais pâteuse, un peu comme une crème anglaise.
Au niveau des proportions, je suis fidèle à la recette de ma grand-mère qui utilise 6 œufs pour 500g de farine, 4 càs de sucre, 1 càc de sel et 1L de lait. Ma recette est divisée par deux et revisitée : pour 250g de farine, utiliser 3 càs bombées de poudre custard (ou fécule pour un goût moins sucré), 1/2 L de lait de soja, 2 càs de sucre et 1/2 càc de sel.

Du côté des galettes, pour 250g de farine de sarrasin, ajouter 1 càs bombée de fécule de pomme de terre, 1 càc de sel de Guérande (je le passe au mortier avant) et 350ml d'eau.Régalez vous !!

Une envie de chantilly pour accompagner une tarte, un gâteau, ou tout simplement, par pure gourmandise ? Je vous propose cette recette simple de chantilly à l'orange. Je l'ai réalisée au siphon, mais je pense que fouettée à la main ou au batteur, ça peut marcher aussi... peut-être moins bien.

J'ai acheté cet allié de la cuisine il y a peu. J'avais envie d'avoir sous la main la possibilité de revisiter les aliments sous une forme originale.

Mes premiers essais ratés passés, j'ai obtenu cette chantilly très agréable, douce et délicatement parfumée. La texture est plutôt pas mal, mais ne vous leurrez pas, elle ne se tient pas aussi bien qu'une "vraie".

Ingrédients (siphon 0.5 L)

1 briquette de crème soja (25cl)
1 sachet de poudre Chantibio (en biocoop)
1 goutte d'huile essentielle d'orange

Préparation

Verser la crème de soja dans le siphon. Ajouter l'huile essentielle et le sachet de Chantibio. Mélanger en secouant un peu le siphon. Percuter la cartouche et secouer énergiquement, siphon tête en bas. Réserver au réfrigérateur pendant au moins deux heures.
Servez avec ce qu'il vous plaira :)

Bon appétit !!

Bonjour !

Aujourd'hui, des petites mises en bouche à base de courgette. En fait, il me fallait une recette pour aller avec mes derniers achats...


Chaque fois que je reçois un colis, je suis comme une gamine devant ses cadeaux de Noël. A fortiori quand ce colis contient des ustensiles de cuisine ! En l'occurrence, cette fois, il s'agissait de vaisselle. J'ai déniché sur internet une entreprise qui fournit des porcelaines à des prix super plaisants (sans compter une livraison des plus rapides et tout m'est arrivé en parfait état). J'avais à la base seulement besoin d'un article, et je me suis retrouvée avec tout une panoplie de miniatures, (à mon humble avis de gaga des gadgets) toutes plus craquantes les unes que les autres :

Une fois toutes ces merveilles lavées et séchées, quoi de plus naturel que de les utiliser ?! J'ai choisi les gouttes pour réaliser mes petits sandwiches de courgettes.

Ingrédients

1 petite courgette
1 carotte
1 petit oignon
1 càs de farine
3 càs de lait de soja
cumin et coriandre en poudre
sel à votre goût

Préparation

Couper la courgette en fines lamelles. Émincer votre carotte en julienne. J'utilise pour ce faire un petit ustensile très pratique :


Blanchir vos légumes séparément, et réserver. Couper les lamelles de courgettes en 5 petits carrés (plus ou moins, selon leur longueur).
Émincer l'oignon et le faire revenir dans de l'huile d'olive. Ajouter les carottes et laisser sur le feu quelques minutes. Juste le temps d'attraper votre farine dans le placard, pour l'ajouter à la préparation. Bien remuer pour que la farine colle aux légumes. Ajouter le lait de soja, et bien remuer à feu très doux. Ajouter les épices et assaisonner à votre convenance. Une fois que le mélange a bien épaissi et forme une pâte collante, couper le feu, c'est prêt.

Dresser en disposant d'abord un petit carré de courgette, puis une couche d'environ 1 cm de farce de carottes aux épices, puis un nouveau petit carré de courgette. Décorer avec quelques fils de julienne de carottes et une pincée d'épices, ou de toute autre manière ;)

Bon appétit !!

Aujourd'hui, c'est hachis. J'ai résolu mon problème de four en achetant une petite merveille pas chère : un thermomètre à four ! Un petit machin qui se suspend à la grille du four, à l'intérieur, et qui permet de surveiller la température du four à travers la vitre. Il paraît que la mesure est beaucoup plus précise qu'avec les thermostats pré-réglés des fours traditionnels. Allons bon, j'ai essayé, j'ai annoté les températures sur mon four près du bouton "petite flamme - grande flamme" et voilà qui est parfait. Je laisserai encore le thermomètre à l'intérieur, je crois que les températures ne sont pas fixes (par exemple, si le four est trop longtemps "à la même flamme", au bout d'un certain temps il monte en température).
Mais bon, ce n'est pas le sujet !
Régalez-vous avec ce hachis végétal délicieux. La consistance est très fondante et moelleuse, et niveau goût, à mon humble avis, ça vaut largement un hachis carné.

Ingrédients pour 4 personnes

(On a tout mangé à deux mais on est des goinfres)

Hachis

1 oignon
150g de protéines de soja
300ml d'eau
1 càc de fond de légumes
4 càs de coulis de tomate
1 càs de sauce soja (j'ai utilisé de la sauce aux champignons : très forte en goût, elle sale naturellement et colore la préparation d'un joli brun - qui accessoirement rappelle celui du bœuf... Elle se trouve en magasin asiatique)
laurier, sel, poivre à votre goût

Purée

12 petites pommes de terre (de la taille d'un œuf)
20 cl environ de lait de soja (selon la consistance souhaitée)
1 càc de margarine
sel, poivre (beaucoup), muscade
2 càs de chapelure
2 càs de levure de bière

Préparation

Émincer finement l'oignon et le faire revenir dans de l'huile d'olive à feu doux. Une fois fondu, ajouter la protéine de soja et laisser revenir quelques minutes. Ajouter l'eau, le laurier et le fond végétal (j'en ai trouvé un sympa dans ma Biocoop mais Maggi en propose un en grandes surfaces également).
Laisser mijoter : la protéine de soja doit absorber presque toute l'eau.
Mixer ensuite le mélange grossièrement (vous devez conserver des morceaux et non obtenir une purée).
Ajouter maintenant le coulis de tomate et la sauce soja. Assaisonner à votre goût.

Préparer ensuite la purée : faire cuire les pommes de terre. Les égoutter, et les écraser. Ajouter le lait de soja, et bien mélanger. Assaisonner à votre goût, personnellement ce n'est pas trop salé, en revanche le poivre et la muscade sont les bienvenus.
Disposer votre hachis dans un plat préalablement huilé (légèrement), puis ajouter la purée par dessus.
Enfin, préparer la "panure" en mélangeant la chapelure et la levure de bière. Saupoudrer tout votre plat avec ce mélange, et si vous le souhaitez, ajouter quelques petites noisettes de margarine par-ci par-là pour aider à dorer.
Enfourner à 200°C (Th 6-7) jusqu'à dorure (je n'ai pas chronométré, plus occupée à prendre les mesures de température de mon four, désolée. Mais je dirais environ 20 à 25 minutes).

Bon appétit !!

Bonjour à tou(te)s !

Voici un petit dessert simple, rapide et super bon, que vous pourrez improviser en cas d'invités de dernière minute. Il faudra seulement qu'ils arrivent un jour où vous avez des fraises fraîches !

Ingrédients (4 verrines)

10 fraises
de la crème dessert soja vanille
des biscuits
10cl de crème soja
du jus de citron
40g de sucre
1 sachet de fixe chantilly

Préparation

Mixer les fraises et le sucre ensemble. Ajouter le jus de citron, et réserver.
Battre la crème soja comme pour une mousse, pour la faire monter. Ajouter le sachet de fixe chantilly, et continuer de battre.
Puis, ajouter le coulis de fraises obtenu précédemment, en l'incorporant doucement à la "mousse" de crème soja.
Écraser des biscuits (ici, des gavottes maison, mais des spéculoos feraient un carton !) et les disposer au fond d'une verrine. Ajouter une petite couche de crème dessert à la vanille, et terminer par la mousse de fraises. Décorer avec des morceaux de fraises fraîches.

Bon appétit !!
Note : aucun chat n'a été maltraité pour la réalisation des photos.

C'est après un plutôt long silence (encore !) que je reviens avec une petite recette sympa à tester sous tous les prétextes.
Je suis embêtée car depuis que j'ai déménagé, j'ai changé de four, et celui que j'ai actuellement n'indique pas les thermostats ou les températures, je dois donc tout faire au pif et vous dire au pif, aussi ! Je vais faire au mieux et estimer à peu près la température.
Quoi qu'il en soit, cela ne doit pas vous empêcher d'essayer ces 12 petites bouchées simples et délicieuses !

Ingrédients

(C'est devenu une tendance générale, les ingrédients aussi sont dosés au pif !)
1 toute petite carotte (ici fane, à peine plus grosse qu'un crayon)
1 càs de céleri rave râpé
3 càs de poireau émincé finement
1/2 oignon jaune
1 càs de persil frais haché
8cl de crème soja
2 càs bien bombées de farine de pois chiches
1 càs bombée de maïzena
eau, sel et poivre

Préparation

Émincer l'oignon et le faire revenir dans de l'huile d'olive.
Pendant ce temps, découper la carotte en fines rondelles, râper le céleri et émincer le poireau.
Une fois l'oignon revenu et à peine coloré, ajouter les légumes et laisser cuire à feu très doux pendant 10 mn. Remuer régulièrement.
Pendant que les légumes cuisent doucement, préparer la pâte pour le flan : disposer la farine de pois chiches dans un bol, et couvrir d'eau (environ 1/2 cm au dessus de la farine). Mélanger, vous devez obtenir une pâte épaisse. Ajouter le persil, la maïzena et la crème de soja, et bien remuer.
Quand les légumes sont cuits, les ajouter à la pâte, saler, poivrer et mélanger. Disposer dans des petits moules à muffins (miniatures ! Les miens font 3 cm de diamètre).
Enfourner 25 minutes à four... chaud, je dirais Th. 6 ou 180°C. Quoi qu'il en soit, surveiller la cuisson, au début les flans semblent crus et ils dorent d'un coup.

Bon appétit !!

Bonjour bonjour !

L'autre jour, je me suis fait la réflexion en voyant mon copain manger un sandwich : "ça me manque les bons sandwiches ! Il faudrait que je m'en fasse des vegan".
Et voilà comment ce billet est né : j'ai fait un pain, et pour ce midi, je me suis préparé un petit sandwich dont je vous détaille la composition ci-dessous.
Et parce que c'est l'été, je vous mets plein d'autres idées auxquelles on ne pense pas toujours pour ses sandwiches !

Photo ©kblog

Mon sandwich de ce midi

2 tranches de pain semi-complet (fait maison !)
1 tranche de jambon fumé végétal Wheaty
2 rondelles de tomates
1 feuille de salade
de la terrine à l'aubergine de Bjorg
des rondelles de cornichons aigre-doux
du tsatsiki*
du poivron rouge
de l'oignon jaune

D'autres idées de garnitures pour les sandwiches

-:- les super saucisses végétales hongroises ou viennoises de Taifun
-:- les différentes terrines que vous trouvez (forestière, champignons, chardonnay, aubergine, artichaut, pois cassés...)
-:- du houmos*
-:- un avocat écrasé ou du guacamole
-:- du tofu coupé "dans la hauteur" (dans l'épaisseur si vous préférez :D) pour faire des tranches fines
-:- des galettes de tofu
-:- les wonder saucisses cheezy-crunchy
-:- des pâtés de légumineuses (haricots rouges écrasés, lentilles...)
-:- des graines germées
-:- du haché végétal de Sojasun
-:- des galettes d'avoine
-:- une sauce façon mayo*

Le tout accompagné de tous les légumes qui vous font rêver : betteraves en fines rondelles, radis, tomates, carottes en bâtonnets ou râpées, céleri, potimarron en purée, haricots verts, poivrons...
Et même des fruits, pour varier les plaisirs : les poires et les pommes, par exemple, se marient à merveille avec le salé.

Recette du tsatsiki

un yaourt de soja nature, le tiers d'un concombre, 1 càs de vinaigre balsamique, 1 càc de jus de citron, 1 càs d'huile d'olive, 1 gousse d'ail écrasée, du sel et du poivre et hop ! C'est fini ! On émince le concombre en petits morceaux et on mélange le tout. Facile, rapide, frais et délicieux.

Recette du houmos

1 petite boîte de pois chiches ou un bol de pois chiches mis à tremper la veille, 2 gousses d'ail, cumin, coriandre fraîche, 1 càc de tahin, 2 càs d'huile d'olive, sel et poivre et on mixe le tout.

Recette de la sauce façon mayo

1 yaourt soja nature ou son poids de tofu soyeux, 3 càs d'huile, 2 càc de vinaigre de xérès, 1 càc de jus de citron, une pointe de couteau de moutarde si vous le désirez, sel et poivre, le tout bien mélangé.

Bon appétit !!

Bonjour à tous !

C'est après un long silence que je reviens par ici avec une nouvelle recette. il faut dire qu'enchaîner vacances à l'étranger et déménagement, ce n'est pas ce que l'on fait de moins chronophage. Nouveau chez moi, nouvelle cuisine, nouvelles envies... Les produits resteront majoritairement les mêmes, puisque je compte rester fidèle à mon épicerie préférée, ainsi qu'à ma coop bio de laquelle je me suis rapprochée.
Aujourd'hui, c'est une recette sucrée gourmande que je vous propose, des coulants au chocolat top fondants et top croquants.

Ingrédients

100g de chocolat noir pâtissier corsé
2 càs d'huile de pépins de raisin
100ml de lait de soja
50g de sucre
2 à 3 càs rases de farine
35g de poudre custard
15g de pépites créatives "Nougatine" (Vahiné)

Préparation

Faire fondre le chocolat avec l'huile et le lait de soja.
Dans un saladier, mélanger les autres ingrédients ensemble. Une fois le chocolat fondu, l'ajouter dans le saladier et bien mélanger.
Répartir dans des petits moules et cuire 15mn à 180°C (Th 6).

Bon appétit !!

Bonjour à tou(te)s,

C'est après un long silence que je reviens avec cette recette de courgettes farcies. Très inspirée par ma dernière recette de Sosashi aux fines herbes, je l'agrémente de plein de façons différentes et m'en suis servie pour farcir ces jolies petites courgettes rondes.

Ingrédients

4 courgettes rondes
1 oignon
3 gousses d'ail
4-5 branches de persil
1/2 yaourt nature
1/2 verre d'eau
1 steak de soja tomate-basilic
huile d'olive
sel et poivre

Préparation

Émincer finement l'oignon et le faire revenir à feu très doux dans un peu d'huile d'olive. Pendant ce temps, écraser l'ail et hacher le persil. Les ajouter à l'oignon, remuer. Puis écraser le steak de soja, et l'ajouter au mélange. Laisser mijoter quelques minutes.
Quand le mélange a doré un peu, ajouter le yaourt et l'eau, et remuer doucement.

Vider les courgettes : couper la pointe, et avec une petite cuillère, épépiner délicatement, et gratter les parois pour vider le maximum de chair. Ajouter cette chair au mélange pour farcir (pas de gaspillage !).
Bon appétit !!

Bonjour !

Je ne suis pas une grande fan des steaks de soja, que je trouve assez écœurants et peu intéressants d'un point de vue gustatif.
En revanche, leur principal intérêt selon moi, c'est leur texture. Il suffit d'écraser un de ces steaks pour avoir l'impression de manger du poisson ou du poulet. Il en existe de différents parfums : tomate-basilic, saveurs d'Afrique, à l'indienne, à la provençale... Mais les principaux intéressées aujourd'hui sont les steaks aux fines herbes. Le sosashi accompagnera à merveille toutes vos céréales, vos pommes de terre, votre chou fleur... Pour peu qu'on aime l'ail et l'échalote, alors, il se mangera avec tout !
Son goût m'a rappelé le poisson et les fruits de mer, à la façon des farces bretonnes pour palourdes ou coques.
Astuce : vous pouvez aussi le tartiner sur des toasts pour un apéro minute.

Ingrédients

1 steak de soja fines herbes (et un de ses sachets de sauce)
1 yaourt nature
2 gousses d'ail
1 échalote
4-5 branches de persil
un peu d'eau
margarine, sel, poivre

Préparation

Émincer l'échalote et écraser l'ail. Les faire revenir dans la margarine. Hacher le persil. Écraser le steak de soja. Quand l'échalote et l'ail sont fondus, ajouter le persil et le steak de soja émietté. Remuer quelque instant et ajouter le yaourt de soja. Baisser le feu et laisser mijoter quelques minutes. Le mélange va s'épaissir, ajouter alors un demi verre d'eau. Laisser mijoter encore quelques minutes en remuant, saler et poivrer.

Bon appétit !!

Hello !

Aujourd'hui, une quiche superbement délicieuse, la recette n'est pas mienne, c'est celle d'Oceanwave et elle est tout simplement à tomber par terre. Elle a même fait pâlir ma grand-mère, pourtant adepte des produits bien traditionnels : "je ne ferai plus jamais ma quiche aux poireaux avec des œufs, ta recette est bien meilleure !"
Voilà qui est plaisant !! Mais pas besoin d'être accro aux recettes du terroir pour s'en rendre compte... Heureusement !

Ingrédients

1 pâte brisée
2 petits poireaux
1 bloc de tofu
170ml de lait de soja
1 cube or
2 càs bombées de maïzena
50ml de vin blanc
poivre, muscade

Préparation

Émincer les poireaux finement et les faire revenir à feu très doux dans un mélange d'huile d'olive et de margarine, avec une pincée de sel.
Mixer le tofu, la maïzena, le vin blanc, le lait de soja et le cube or ensemble. Ajouter aux poireaux quand ceux-ci sont bien fondus. Couper le feu.
Ajouter généreusement poivre et muscade, et remuer.
Disposer sur la pâte brisée, et cuire 20 à 25mn à 180 °C (Th 6).

Bon appétit !!

Bonjour !

Il est connu d'à peu près tout le monde (j'exclus avec ce "à peu près" les personnes qui ne savent pas faire cuire des pâtes ou de quoi elles sont faites, autrement dit, des individus très rares mais pour le moins surprenants) qu'il faut des œufs, du beurre et du lait pour faire un bon gâteau. Tout comme il est connu d'à peu près tout le monde (idem) que le vinaigre sert à faire de la vinaigrette.
Et bien je m'en vais vous prouver le contraire, avec cette recette de moelleux au chocolat !

Ingrédients

100g de chocolat pâtissier
1 verre* d'eau
50g de yaourt soja nature
1 verre de sucre
2 verres de farine
20cl de lait de soja
1 sachet de levure chimique
1 càc de vinaigre
* de la taille d'un pot de yaourt

Préparation

Faire fondre le chocolat au bain-marie, avec l'eau. Pendant ce temps, mélanger dans un saladier le sucre, la farine et la levure. Mélanger dans un autre récipient le yaourt et le lait de soja.
Quand le chocolat est fondu, l'ajouter au mélange, ainsi que le lait de soja et le yaourt. Bien fouetter jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène.
Ajouter une càc de vinaigre (peu importe s'il est de vin, d'alcool, de framboise, de xérès ou autre) et mélanger à nouveau. Laisser reposer quelques minutes : la levure va réagir avec le vinaigre et faire "mousser" la pâte.
Disposer dans des petits moules et cuire 35 à 40 mn à 150°C (Th 5).
Si vous voulez faire un grand gâteau, prolonger la cuisson de 5 minutes.
Bon appétit !!

Hello à tou(te)s !

Voici une recette super simple à réaliser, rapide et délicieuse. La crème obtenue est onctueuse, et délicate. Elle constitue un dessert savoureux et léger.

Ingrédients

400g de tofu soyeux
130g de chocolat pâtissier
2 càs de sucre roux
1 sachet de fixe chantilly

Préparation

Faire fondre le chocolat au bain-marie. Pendant ce temps, passer le tofu au batteur pendant 5mn. Y incorporer le sucre, le sachet de fixe chantilly et le chocolat fondu. Battre à nouveau quelques minutes. Disposer dans des petits ramequins et déguster.

Bon appétit !!

Bonjour !

Des lasagnes... Voilà bien longtemps que je n'en avais pas mangé. Je ne trouvais que très rarement les plaques de pâte pour en faire, et puis même quand j'en trouvais, je ne trouvais pas ça top : trop dur, ou trop flasque. Bref, depuis que j'ai ma machine à pâtes, je me suis réconciliée avec les lasagnes !

Ingrédients

Pâte

150g de farine
eau

Garniture

1 oignon
1 petite boîte de tomates pelées
2 càs de protéines de soja (poids sec)
3 càs de flocons d'avoine
1 cube or
1 càs de sucre
basilic, origan
sel, poivre

Béchamel

1 càs de margarine
2 càs de farine
250ml de lait de soja
sel, poivre, muscade

Préparation

Pâte

Mélanger la farine et l'eau jusqu'à l'obtention d'une pâte lisse. Laisser reposer un quart d'heure. Passer ensuite dans la machine à pâte (ici n° 6) et réserver.

Garniture

Émincer l'oignon et le faire revenir dans de l'huile d'olive. Ajouter les flocons d'avoine et laisser dorer. Pendant ce temps, verser les protéines de soja dans de l'eau bouillante. Ajouter à l'oignon la boîte de tomates pelées et le cube or. Quand les protéines de soja sont réhydratées, les ajouter à la tomate. Laisser mijoter, puis ajouter les aromates et le sucre et laisser encore quelques minutes sur feu très doux.

Béchamel

Pendant que la garniture mijote, faire fondre la margarine dans une casserole. Une fois fondue, ajouter la farine, et mélanger pour obtenir une pâte homogène. Ajouter un peu de lait de soja, et fouetter sans arrêter jusqu'à ce que la sauce (épaisse) obtenue soit parfaitement lisse. Ajouter ensuite le reste du lait de soja, mélanger et laisser chauffer quelques instants à feu très doux. Ajouter le sel, le poivre et la muscade (soyez généreux).
Au bout de quelques minutes, la préparation va épaissir : fouetter énergiquement sans interruption, pour éviter la formation de grumeaux. Couper le feu quand la béchamel a la consistance souhaitée.

Dressage

Dans un plat, disposer premièrement une fine couche de béchamel. Puis la pâte (crue), puis la garniture, puis à nouveau de la béchamel... jusqu'à épuisement des stocks :)
Terminer par une couche de béchamel, saupoudrée de levure de bière. Enfourner 20 bonnes minutes à 200° C (Th 6-7).

Bon appétit !!

Bonjour tout le monde,

Toujours aussi fan de pâtes sous toutes leurs formes, voilà qu'une amie m'offre un truc à ravioli ("truc" pourrait être remplacé par "moule" si j'étais sûre qu'on appelle ça comme ça). Merci Alice !!! :D
Grâce à ce truc, on peut faire 40 ravioli d'un coup, à tout ce qu'on veut, et vegan bien sûr ;)
J'avais plein de légumes qui traînaient, mais c'est le fenouil que j'ai choisi, juste parce que des ravioli au fenouil, je n'en ai jamais vu.

Ingrédients

Pâte à ravioli

100g de farine
eau

Farce

1/2 oignon
le même poids de fenouil
1 gousse d'ail
coulis de tomates
5 olives vertes
parmesan vegan
thym, laurier
sel, poivre

Préparation

Former une pâte avec la farine et l'eau. Elle doit être assez sèche et ne pas coller.
La diviser en deux, et la passer dans la machine à pâtes (ici sur 7) ou au rouleau à pâtisserie jusqu'à ce qu'elle soit la plus fine possible. Fariner les deux côtés et réserver.
Mixer l'oignon, l'ail, le fenouil et les olives. Les faire revenir quelques minutes dans de l'huile d'olive. Ajouter le coulis de tomates et le parmesan, et assaisonner. Vous devez obtenir une pâte pas trop liquide, de la consistance d'un fromage à tartiner.

Voici le truc à ravioli :


Fariner, et disposer la pâte dessus, puis la farce à l'aide de la super cuillère fournie avec. Ne pas trop farcir, sinon les ravioli vont crever.
Ajouter la deuxième épaisseur de pâte et aplatissez délicatement le tout au rouleau à pâtisserie.




Démouler les ravioli et les cuire dans de l'eau bouillante quelques secondes (ils sont cuits quand ils flottent).

Bon appétit !!

Mon gâteau préféré. En tant que fan de chocolat, c'est un dessert incontournable. Voici ma recette pour le réaliser : le goût de chocolat est un peu moins prononcé que dans "un vrai" mais la mousse est beaucoup plus légère et le biscuit plus croustillant.

Ingrédients

Biscuit

3 càs de sucre roux mixé en sucre glace
40g de farine
20g de margarine
20g de poudre d'amande
1 càs de lait de soja
1 pincée de sel

Pralinoise

2 càs de crème de noisette
1 càs de chocolinette
16g de sucre
8g d'amandes
8g de noisettes
10g de pralin en poudre

Gavottes

85ml de lait de soja
20g de margarine
1/2 sachet de sucre vanillé
1 pincée de sel
20g de farine
20g de sucre roux
5g de fécule + 1.5 CS de lait

Mousse

30 cl de crème de soja
150g de chocolat pâtissier
7cl de lait de soja
1 sachet de Fix Chantilly
25g de sucre glace

Préparation

Le biscuit

Mélanger la farine, le sucre, la poudre d'amande et le sel. Ajouter la margarine et le lait de soja, et pétrir jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène. Déposer au réfrigérateur pendant une demi heure. Puis, disposer votre pâte dans des cercles à pâtisserie ou, comme moi, dans des petits ramequins, et cuire 12mn à 180°C.

La pralinoise

Faire chauffer une poêle à sec. Y verser les amandes, les noisettes et le sucre, baisser le feu et remuer jusqu'à l'obtention d'un caramel lisse. Verser sur du papier cuisson et laisser refroidir.
Dans un mixeur, verser la chocolinette, le pralin et la crème de noisettes. Ajouter le caramel refroidi, et mixer. Bien mélanger et réserver.

Les gavottes

Dans une casserole, faire chauffer le lait de soja avec la margarine, le sel et la vanille. Dès que la margarine est fondue, éteindre le feu et réserver.
Mélanger la farine et le sucre dans un saladier. Ajouter la fécule et le lait préalablement mélangés et fouetter l'ensemble de façon à obtenir une pâte épaisse et lisse. Puis, ajouter le mélange lait de soja/margarine sans cesser de remuer. Réserver cette pâte au réfrigérateur 30 minutes.
Disposer sur un tapis de cuisson des petits tas de pâte (une càs). Étaler le plus finement possible en gardant une épaisseur de pâte régulière.
Enfourner et cuire environ 10min à 150° C (Th 5) jusqu'à ce que la "crêpe" se colore légèrement. Puis découper des carrés réguliers dans la pâte.
Facultatif : Enrouler rapidement chaque carré de pâte sur lui-même en aplatissant légèrement à chaque tour, pour former des gavottes (mais ici peu importe leur forme, puisqu'on va les écraser).
Remettre quelques minutes au four pour les dessécher et intensifier leur coloration.
Une fois refroidies, en écraser 50g du bout des doigts et les ajouter à la pralinoise.

Mousse

Faire fondre le chocolat et le lait de soja au bain marie. Pendant ce temps, monter la crème de soja au batteur pendant 10 bonnes minutes : la crème doit avoir doublé de volume.
Incorporer délicatement le chocolat fondu à la crème montée. Terminer par le sucre glace et le Fix Chantilly préalablement mélangés. Déposer au réfrigérateur une bonne demi heure.

Disposer sur votre pâte une couche de pralinoise, et une couche (plus épaisse) de mousse au chocolat, saupoudrer de cacao en poudre ou décorer de toutes les façons possibles et imaginables, et déguster.

Bon appétit !!